Les thérapies dites «de conversion», une double intention qui ne dit pas son nom
Ne les appelez plus ainsi. De nombreux croyants ou responsables d’Eglises évangéliques s’insurgent contre cette appellation. «Je ne comprends pas qu’on nous mette cette étiquette sur le dos, guérir de l’homosexualité n’a jamais été notre objectif», plaide Claude Riess, coordinateur de l’association évangélique française Torrents de vie. «Nous n’avons jamais soutenu la dimension de thérapie qui viendrait dire qu’il y a maladie. Sauf guérison d’un point de vue spirituel.»
Une appellation interdite
Publicité
Pour poursuivre la lecture, choisissez une des options suivantes: