Les veilleurs ont soif d’engagement
Il est 21h15, des centaines de militants investissent la place de la Concorde. Dépêchés sur place, une douzaine de cars de CRS arrivent en renfort des sept camions de la gendarmerie. Une vingtaine d’agents assez tendus encerclent des veilleurs silencieux. Les violences survenues quelques mois plus tôt ont amené la préfecture à redoubler de vigilance et les veilleurs à multiplier les appels à la paix. «Nous sommes parqués sur cette place, alors que, dans un Etat de droit, nous avons le droit de nous déplacer, tant que nous ne troublons pas l’ordre public. Personne ne peut choisir leur histoire à la place des Français et des jeunes», interpelle Axel, un des porte-paroles, au micro.
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