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La sagesse de Dieu me dépasse

© Alliance Presse
Avec «L’aube du dernier empire: Willibald», la romancière Nathania Boschung signe le dernier opus de sa trilogie historique. Retour sur son parcours de foi, de famille et d’écriture.
Sandrine Roulet

Vos parents étaient des chrétiens engagés. Parmi les valeurs qu’ils vous ont transmises, lesquelles vous influencent encore?
L’idée que nous sommes créés pour une relation avec Dieu et que cette relation nous tourne vers les autres dans un esprit de service, de solidarité et de partage.
D’après mes parents, c’est à trois ans que j’ai formulé mon désir de «donner mon cœur» à Dieu, mais ma conversion été une prise de conscience graduelle. Je me suis fait baptiser à treize ans, pour attester ma foi et mon engagement. Cette décision m’a aidée à tenir dans la période de l’adolescence. Au niveau de ma santé, j’ai vu Dieu répondre par la guérison, confirmation concrète de son existence et de son amour.
Un de vos fils est atteint d’un handicap. Qu’avez-vous appris à son contact?
Il est un exemple de la confiance et de la dépendance dans la joie. Dans ma relation avec Dieu, j’arrive mieux à comprendre ce que signifie avoir un cœur d’enfant.
En tant que parents, nous sommes aussi face au défi de l’éduquer. Nous savons que Dieu prend le relais là où nous sommes limités, qu’il renouvelle nos forces.

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