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La compassion, remède à la non-violence

© Alliance Presse
L’Evangile rime-t-il avec non-violence? Nous avons posé la question à Hervé Ott, formateur à l’approche et la transformation constructive des conflits à l’Institut européen de formation Cultures-Conflits-Coopérations.
François Sergy

Auteur d’études sur la violence et les conflits, objecteur de conscience, créateur d’un organisme de formation sur les conflits, vous êtes considéré comme un partisan de la non-violence. Pourquoi?
A vrai dire, l’expression «non-violence» est trop négative, limitée, vague et connotée idéologiquement. On met tout et n’importe quoi sous le terme de «violence». En tant que théologien, je ne trouve pas d’équivalent dans la Bible. Gandhi, qui a adopté le mot «non-violence» par défaut, préférait parler de «l’étreinte indéfectible de la vérité». Pour des raisons de pédagogie, j’ai inventé l’expression «approche et transformation constructive des conflits».

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