Skip to content

Victimes ou acteurs de la consommation?

© Alliance Presse
A l’approche des fêtes, le climat de consommation atteint des sommets. Consommer est-il indispensable pour assurer la viabilité de la planète? Existe-t-il d’autres manières d’envisager notre rapport à l’argent? Découvrez sur ce site les autres articles de notre dossier consacré à la consommation.
Christian Willi

Au Moyen Age, le but de l’éducation était d’élever de bons chrétiens. Après la Révolution de 1789, l’éducation visait à préparer de bons citoyens. Denis Marquet, l’auteur de Nos enfants sont des merveilles (éd. Nil), ajoute que désormais, le but de l’éducation est de former des consommateurs parfaitement pulsionnels et malléables aux offres promotionnelles des grandes enseignes ainsi qu’au diktat des marques en vogue.
Pour Luc-Olivier Suter, économiste et consultant à Chappuis Halder & Cie, cette évolution est manifeste: «En Occident, la consommation est devenue un loisir comme un autre. On ne consomme plus par besoin, mais en guise de passe-temps». A la place de balades en forêt ou d’une sortie à vélo. A l’approche des fêtes de fin d’année, la frénésie commerciale atteint son paroxysme.

Dossier: Consommation
Thèmes liés:

Pour poursuivre la lecture, choisissez une des options suivantes:

Créer un compte gratuitement

Et profitez gratuitement de l'accès aux articles web réservés aux abonnés pendant 14 jours.

Quelle réponse à la crise des vocations?

Crise des vocations, digitalisation à l’extrême, désamour pour la profession pastorale... Nombreux sont les défis auxquels doivent faire face les écoles bibliques de toutes les dénominations. Dans ce dossier, nous vous proposons de découvrir ce…

Publicité