L’homme fort de la lutte anti-torture
Il n’entend pas forcément investir de nouveaux champs d’action, mais plutôt les approfondir. Il s’indigne notamment de «la passivité ou de la complicité des Etats» en matière de torture et compte bien aussi s’attaquer aux «conséquences du capitalisme sauvage». Pour atteindre ses objectifs, l’ACAT s’appuie sur «une action de plaidoyer» et sur «des compétences juridiques».
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