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L’homme fort de la lutte anti-torture

© Alliance Presse
«Le phénomène tortionnaire s’est généralisé. Il concerne aussi bien les zones de conflits que les commissariats de police». François Picart, élu en avril à la présidence de l’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT), aura donc du pain sur la planche pour poursuivre la lutte entamée par cet organisme en 1974.
Christelle Bankolé

Il n’entend pas forcément investir de nouveaux champs d’action, mais plutôt les approfondir. Il s’indigne notamment de «la passivité ou de la complicité des Etats» en matière de torture et compte bien aussi s’attaquer aux «conséquences du capitalisme sauvage». Pour atteindre ses objectifs, l’ACAT s’appuie sur «une action de plaidoyer» et sur «des compétences juridiques».

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