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Les maux qui se cachent derrière le populisme

© iStockphoto
Les extrêmes de l'échiquier politique rencontrent de plus en plus de succès, en Europe et au-delà. Mais s'intéresser aux revendications du peuple et avoir une personnalité marquée suffisent-ils à bâtir une nation forte? Analyse.
David Métreau

Un Européen sur quatre vote pour une force décrite comme populiste, rapporte une étude publiée par le Guardian fin novembre. Des chiffres qui ont triplé en vingt ans. Ces mouvements ont du succès en Europe centrale et de l’Est. Ils se traduisent avec des votes importants pour le parti ultra-nationaliste Jobbik en Hongrie, la percée de l’AfD en Allemagne, l’arrivée du FPÖ au pouvoir en Autriche, ou d’une coalition Ligue du Nord-Mouvement cinq étoiles en Italie. Mais cette tendance dépasse largement les frontières européennes.
Comment expliquer l’émergence de personnalités dites fortes à la tête de nombreux pays? Quel est le lien entre ces derniers? Faut-il y voir une faillite des partis chrétiens-démocrates, sociaux-démocrates ou libéraux?

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