La charia n’est pas un outil d’intégration
Deux voisins jugés par deux tribunaux différents pour des mêmes faits de violence conjugale et avec des résultats opposés. Un créancier jugé pour avoir perçu des intérêts sur un prêt (interdit par la finance islamique) alors que son voisin, lui aussi créancier, n’est pas inquiété. Ce scénario de fiction est une perspective à laquelle il faudra peut-être s’habituer. En effet, le débat sur l’unicité et la rigidité des lois européennes vis-à-vis des communautés immigrées est lancé. Les justiciables musulmans ne seraient pas les seuls concernés. En effet, le pluralisme juridique – la possibilité donnée à des communautés de se gouverner selon leurs propres lois – signifierait la fin de l’Etat de droit tel que nous le connaissons aujourd’hui.
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