Et tout commence par la grâce
Ouvrir le festival avec un film portant ce titre est un véritable cadeau fait à la presse. Les rédacteurs des « Unes » peuvent s’en donner à coeur joie pour rivaliser d’ingéniosité en cherchant les jeux de mots les plus appropriés. Alors pourquoi m’en priverais-je ?… D’autant plus sur ce blog où se mêlent différentes choses avec une tentative constante de porter un regard empreint de foi. Et pour un protestant de surcroit, commencer par la « grâce » prend alors une valeur supplémentaire. Bon, vous me répondrez sans doute : « Si ce n’est qu’une affaire de vocable, quelque peu tirée par les cheveux de plus, pas la peine d’en faire autant… » Et vous n’aurez pas tort, sauf que, finalement peut-être, la grâce est peut-être l’invitée surprise de ce premier long métrage cannois.
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