«En marchant, on vit les choses différemment»
Ils avaient déjà marché une semaine sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle l’an dernier. A la faveur d’un temps sabbatique, Ruth et Michel, respectivement secrétaire médicale et animateur théologique au CeFoR Bienenberg et rédacteur du mensuel Christ Seul, ont vu plus grand. En mai, ils ont marché cinq à sept heures par jour en direction d’Assise. Ce qui les a motivés, c’est d’être dans la peau de pèlerins, c’est-à-dire: «Marcher délibérément dans le but d’y associer la méditation et la prière, d’être plus ouverts ou conscients des signes de Dieu par les paysages, les événements, les rencontres», raconte Michel.
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