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«Crise ou pas crise, la pérennité de l’entreprise passe avant tout»

© Alliance Presse
Deux entrepreneurs témoignent de leur manière de diriger leur entreprise en temps de crise. Evoquant leur foi en Dieu, ils racontent aussi sans tabou quelles sont leurs priorités et comment ils affrontent les choix difficiles, en particulier lorsque des places de travail peuvent être en jeu. Cet article fait partie de notre dossier Entreprises, dont les autres textes sont à lire sur ce même site: «Jean-Pascal Bobst collabore avec le grand patron» et «Un Forum pour les décideurs en 2012»
Jérémie Cavin

«La pérennité de l’entreprise passe avant tout. Crise ou pas crise, ça ne change pas ma manière de diriger». Thierry Favre, directeur et administrateur de sociétés représentant un total de plus de 130 collaborateurs, considère que sa position de chrétien l’oblige à se donner «à 120% pour l’entreprise». «Dieu m’a donné une place de travail, alors je dois l’honorer de cette manière-là, en faisant tout de bon cœur comme pour le Seigneur (Col. 3, 23). Faire vivre plus de 100 familles est la preuve que Dieu m’a confié une mission». Par contre, il tient à préciser qu’il n’est «pas employé pour prêcher, mais pour travailler comme chrétien dans les affaires».

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