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Le témoignage chrétien au rendez-vous de Lognes

La participation a été stable au rendez-vous traditionnel des évangéliques francophones de Lognes, au Nord-Est de Paris, pour le Centre Évangélique d’Information et d’Action (CEIA), du 16 au 18 novembre. Désireux de mêler comme à l’accoutumée du cultuel à l’académique, les organisateurs avaient invité le bibliste américain Donald Carson. Le lundi matin, celui-ci commentait la scène de la crucifixion pour montrer combien les moqueries et les quolibets dont on a accablé le Christ étaient paradoxalement vrais, une forme de prophétisme involontaire et ironique. Le mardi, le théologien et écrivain rappelait que la foi reposait sur des signes et des faits réels.Le côté très cérébral du premier orateur était équilibré les après-midi par un invité plus chaleureux. Le pasteur égyptien I. Youssef a parlé de fondements tels le témoignage, l’amour et la solidarité dans la prière. «Je veux que vous ayez à l’esprit la joie du Christ, celle qui l’a saisi alors qu’il entrevoyait toutes les personnes arabes qui lui seraient données et qui lui a permis d’affronter son agonie. Je veux que cette pensée vous habite chaque fois que vous voyez des visages du Moyen-Orient à la télé», plaidait-il avec force. --CREDIT--
Joël Reymond

La participation a été stable au rendez-vous traditionnel des évangéliques francophones de Lognes, au Nord-Est de Paris, pour le Centre Évangélique d’Information et d’Action (CEIA), du 16 au 18 novembre. Désireux de mêler comme à l’accoutumée du cultuel à l’académique, les organisateurs avaient invité le bibliste américain Donald Carson. Le lundi matin, celui-ci commentait la scène de la crucifixion pour montrer combien les moqueries et les quolibets dont on a accablé le Christ étaient paradoxalement vrais, une forme de prophétisme involontaire et ironique. Le mardi, le théologien et écrivain rappelait que la foi reposait sur des signes et des faits réels.Le côté très cérébral du premier orateur était équilibré les après-midi par un invité plus chaleureux. Le pasteur égyptien I. Youssef a parlé de fondements tels le témoignage, l’amour et la solidarité dans la prière. «Je veux que vous ayez à l’esprit la joie du Christ, celle qui l’a saisi alors qu’il entrevoyait toutes les personnes arabes qui lui seraient données et qui lui a permis d’affronter son agonie. Je veux que cette pensée vous habite chaque fois que vous voyez des visages du Moyen-Orient à la télé», plaidait-il avec force.
–CREDIT–

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