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Seuls 17% des Suisses se disent pratiquants

© Alliance Presse
Une enquête d'envergure révèle que les Suisses sont toujours moins religieux.
Sandrine Roulet

La société se sécularise et nos concitoyens ne veulent plus qu’on leur impose des croyances religieuses. Voici quelques-unes des conclusions du programme national de recherche «Collectivités religieuses, Etat et société» (PNR 58), publié début juillet.
Cette étude est d’autant plus digne de confiance qu’elle a été menée pendant cinq ans, à l’initiative du Conseil fédéral, pour un coût de 11 millions de francs et par le biais d’une trentaine de projets. Le pasteur et sociologue Olivier Favre a participé au groupe de recherche sur «Religions et valeurs». Il relève l’importance d’une telle étude: «Elle était motivée par deux facteurs: d’une part, l’augmentation de la proportion de musulmans, due à l’immigration; d’autre part, la baisse de la pratique religieuse et la recomposition du paysage religieux.»

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