Prof de sport et chrétien
Didier a le look du prof de sport. A l’aise sur des skis ou sur un terrain de football, au volleyball ou au tennis, le tout fraîchement cinquantenaire a choisi un métier qui lui va comme un gant. Et le côté polyvalent de la profession lui plaît. «Cette variété permet de garder la motivation sur la longueur, sans tomber dans la routine.» Mais Didier insiste: «Ce travail est d’abord relationnel. Notre matière première, c’est l’élève». Avec les joies et les difficultés que cela comporte: «Le propre d’un métier aussi relationnel, c’est qu’il est imprévisible, il procure des joies immenses et des déceptions profondes.»
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