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Lou Engle, persona non grata en Suisse

© Alliance Presse
Le prédicateur américain Lou Engle, invité dans l’Eglise évangélique d’Oron, a été la cible des critiques médiatiques. Mais les évangéliques ne sont pas tous derrière lui. A juste titre ? Bilan.

«Un homophobe prêchera à Oron-la-Ville pour Pâques», titrait le quotidien Le Matin, le 27 mars. L’«homophobe» en question : Lou Engle, cofondateur du mouvement international de prière The Call. Le pasteur est accusé d’avoir soutenu les lois anti-homosexualité promulguées en 2010 en Ouganda, lors de son passage dans le pays.
Avant même la publication de l’article, l’Eglise évangélique d’Oron-la-Ville avait décidé d’annuler la venue de l’Américain, «car les membres du Conseil n’étaient pas tous à l’aise concernant sa venue», explique son pasteur Werner Lehmann. Mais il n’y a pas que chez eux que les avis divergent. Au-delà des médias ou des associations de défense des homosexuels qui l’ont pris en grippe, la communauté évangélique aussi est partagée.

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