Les paraboles d’un conteur urbain
«J’ai toujours été le pitre de la famille», se défend l’artiste. Arrivé en France pour ses études, Chyc Polhit travaille dans des centres de loisirs. C’est là qu’il va commencer à raconter des histoires traditionnelles africaines aux enfants. Une révélation. Petit à petit, son activité de conteur prend de l’importance. Interpellé par la proximité entre le conte et la parabole du Nouveau Testament, il y voit un moyen d’allier recherche artistique et témoignage de foi. Diplôme d’informatique en poche, il s’inscrit à la fac de lettres pour étudier les arts du spectacle et se perfectionner.
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Chyc Polhit est en lien avec Jeunesse pour Christ, une mission qui organise des camps d’évangélisation. «Les jeunes se braquent si on leur sert un discours religieux qui ne permet aucune discussion», analyse-t-il. «Il faut un moyen de communication qui ne soit pas agressif, qui mette l’individu en route tout en respectant sa sphère intime».
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