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Les confessions de Jean-Marc Bigler

L'agriculteur de Martherenges (Suisse), responsable de l’association Soteria, évoque sa foi et son ministère

Comment avez-vous découvert le ministère d’exorcisme et votre vocation?
Je participais à une convention à Vichy, en 1975. J’avais quarante et un ans. J’ai partagé mes problèmes, mes angoisses. Je pensais que ça faisait partie de la vie. On m’a dit que j’avais besoin de délivrance. Or, on m’avait enseigné qu’un chrétien ne pouvait avoir de mauvais esprits. Quand on a prié pour moi, j’ai vécu une délivrance spectaculaire.
Cela a suscité une forte interrogation: si moi qui ai été élevé «entre deux pages de Bible» en avais besoin, qu’en était-il des autres? J’ai entendu mon appel à ce moment-là. Je n’avais pas fait d’études ni d’école biblique. J’ai été à l’école du Saint-Esprit. Il y avait cette pensée forte: Dieu ne m’appelait pas en fonction de ce que je pouvais faire, mais de ce que lui voulait faire.

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