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La paix de Noël, Deuxième semaine de l’Avent

Il est de coutume de parler de paix à Noël. La raison en est peut-être que, dans nos sociétés laïcisées, désenchantées, déboussolées, cette fête familiale porte en elle la vive aspiration à un bonheur profondément paisible. Noël, dans sa préparation et son vécu, dans le souvenir ou le rêve, est devenu la tentative de (re)goûter un bonheur que rien ne vient perturber : Noël s’envisage comme un havre de paix.Le chrétien peut s’en réjouir ! C’est bien sur un message de paix que s’ouvre l’Évangile de Noël : «Gloire à Dieu dans les cieux très hauts et paix sur la terre pour ceux qu’il aime !». Celui qui naît à Noël est bien le «Prince de la paix» dont parle le prophète Ésaïe (9, 5).
Annie Bergèse

Il est de coutume de parler de paix à Noël. La raison en est peut-être que, dans nos sociétés laïcisées, désenchantées, déboussolées, cette fête familiale porte en elle la vive aspiration à un bonheur profondément paisible. Noël, dans sa préparation et son vécu, dans le souvenir ou le rêve, est devenu la tentative de (re)goûter un bonheur que rien ne vient perturber : Noël s’envisage comme un havre de paix.Le chrétien peut s’en réjouir ! C’est bien sur un message de paix que s’ouvre l’Évangile de Noël : «Gloire à Dieu dans les cieux très hauts et paix sur la terre pour ceux qu’il aime !». Celui qui naît à Noël est bien le «Prince de la paix» dont parle le prophète Ésaïe (9, 5).

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