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«La face souriante de l’occultisme tibétain»

© Alliance Presse
Ce mois d'avril, le Dalaï-Lama est de retour en Suisse pour parler d’économie, après une année 2009 où il a beaucoup visité la francophonie. Leader religieux peut-être le plus aimé du monde, il a aussi ses critiques, qui ont tenté d’alerter l'opinion sur le pan mystique et secret du bouddhisme tibétain. Interview du théologien bâlois Bruno Waldvogel-Frei, auteur d'une enquête aussi ahurissante que controversée
Joël Reymond

Bruno Waldvoger-Frei, qu’est-ce qui vous a amené à vouloir décrypter la figure du Dalaï-Lama ?
J’ai assisté à la destruction d’un «cercle sacré» tibétain, un kalachakra, en 2000, à Bâle, lors de la venue du Dalaï Lama. Les gens pensent et disent que c’est du folklore, rien de plus. Et le Dalaï Lama est très discret à ce sujet. Il esquive. Cela m’a rendu curieux. J’ai voulu creuser. J’ai découvert un vieux débat. Des gens s’étaient déjà opposés à la venue du Dalaï Lama, à Munich, par exemple et pas pour des raisons de politique avec les Chinois.

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