Il vit pour le réveil du Valais
«Si tu as besoin d’aide, tu peux toujours t’adresser à Jésus». Cette phrase, prononcée par son frère en 1981, Philippe Beeusaert s’en est souvenu huit ans plus tard, lorsque sa femme est partie avec son fils.
En ce jour de détresse d’avril 1989, le «Ch’ti» vivant en Suisse a appelé Jésus à l’aide: «J’ai senti une présence immédiate, comme si quelqu’un était là et m’écoutait». Face à cette expérience inouïe, les restes de catéchisme sont remontés à sa mémoire: «Oui, Jésus, tu es mort pour moi et tu m’aimes». Il a alors demandé pardon à Dieu pour son péché et s’est tourné vers lui.
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