Fred Sandoz, retraité et auteur, à propos de la guérison divine
La guérison divine revient sur le tapis. Des chambres chrétiennes de guérison se constituent un peu partout, notamment à Genève.
Pour moi, qui ai subi un accident vasculaire cérébral en 1998 et qui suis sorti de l’hôpital après deux mois et demi avec la main droite paralysée, je me suis senti concerné personnellement par toute cette problématique. D’autant plus qu’une conviction s’était forgée en moi: «millimètre par millimètre», semblait me souffler une voix intérieure.
En attendant, j’allais me soumettre consciencieusement à toutes les prescriptions des médecins et suivre avec assiduité une physiothérapie, qui dure encore actuellement. Et les progrès se sont succédé et ils continuent encore maintenant, alors que j’ai pour ainsi dire récupéré les fonctions de ma main droite.
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À l’hôpital, on avait aussi procédé à divers examens de routine, qui ont révélé un cancer de la prostate, pour lequel je reste en traitement aujourd’hui.
Mais cette année, j’ai renoncé aux injections habituelles anti-pollen et rhume des foins et je n’ai ressenti aucun des effets habituels de l’allergie.
Il faut dire aussi que ma femme et moi avons pris l’habitude, depuis environ six mois, de méditer chaque jour une page d’un livre de Kenneth Hagin, La nourriture de la santé. L’idée fondamentale de cet ouvrage est extrêmement simple?: lorsque nous nous sommes convertis, nous avons reçu l’assurance du pardon de nos péchés, par l’œuvre de Jésus sur la croix.
Le salut et le pardon des péchés obtenus par Jésus, puni à notre place, ne font aucun doute. On peut ajouter une deuxième réalité: il a également porté mes maladies. Il n’est donc ni nécessaire ni souhaitable que je continue à les porter moi-même. Lorsque je comprends cette vérité, je puis alors dire que je suis guéri par la foi de toutes mes maladies. La guérison par la vue ne tarde pas à suivre. Je puis donc en remercier Jésus et le louer encore et encore pour l’œuvre de guérison et de rédemption qu’il opère en moi. À suivre.
Article tiré du numéro Christianisme Aujourd’hui – Juin 2007
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