Face à la menace, réconcilier la foi et le bon sens
Le Chapman Survey of American Fears, une étude menée aux Etats-Unis entre 2014 et 2018, a montré que, face à la menace d’une pandémie, les protestants conservateurs américains se déclarent moins sujets à la peur que le reste de la population. Cette tendance se marque encore davantage chez les personnes qui fréquentent une Eglise régulièrement. Ce constat témoigne de la paix que la Bonne Nouvelle apporte à ceux qui croient. Mais il pose également une question: y a-t-il une attente, voire une pression sociale sur les groupes où la foi est valorisée et la peur perçue comme une faiblesse? Et si oui, cela peut-il favoriser des comportements à risque en terme de prévention?
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