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Dieu était pourtant tout-puissant.

Lorsqu’éclate le génocide rwandais de 1994, Jean étudie à Genève, loin des siens. Trois mois plus tard, il reçoit enfin des nouvelles. Tragiques.

«Ma femme, mes trois fils, ma famille, c’était pour moi comme un champ de fleurs. J’aimais tant prendre soin de ce que Dieu m’avait confié. Mais un matin, je me suis réveillé et c’est comme si le propriétaire des lieux avait tout saccagé
». Jean a quarante-neuf ans, il est rwandais et chrétien engagé de longue date. Il était marié depuis huit ans et père de trois garçons de six, quatre et deux ans et demi lorsque l’innommable s’est produit début 1994.

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