Deux ans de mission dans l’Arctique canadien
Des villages isolés entre eux, la pêche sous la glace, le soleil qui se couche à 14h30 en hiver, les aurores boréales presque tous les soirs, la chasse à l’oie sauvage, les denrées alimentaires et de constructions livrées par paquebot au début pour toute la durée de l’hiver. Le décor est planté. Rachèle Bütikofer, une institutrice suisse de vingt-sept ans, vient de passer deux ans à Kuujjuaq, le centre administratif et réel portail du Nunavik, en tant que missionnaire.
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