Ces retraités qui ont choisi la reconnaissance
Très proche de ses petits-enfants
Jean-Claude Badoux a fêté ses 80 printemps en février. Cet ancien président de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL) s’estime privilégié à bien des égards: pour sa santé, son travail, son activité d’Eglise mais surtout pour l’engagement chrétien de la plupart de ses dix-neuf petits enfants. Deux sont responsables de groupes bibliques dans leur école respective, deux ont fait JEM, une la Factory, etc. «Nous sommes très proches de nos petits-enfants. Récemment, quand je suis rentré, sept étaient à la maison: ils s’étaient invités les uns les autres chez nous», se réjouit-il, ajoutant qu’ils prient ensemble. Et d’évoquer des vacances en Arménie, l’été dernier, avec 27 membres de la famille!
La reconnaissance, Jean-Claude Badoux n’a pas besoin de la cultiver, elle lui vient naturellement. Les regrets? «Je les encaisse et n’y pense plus», répond-il, philosophe. Tant que Dieu lui donne la force, continuer son activité professionnelle est capital pour ce battant: «C’est ce qui me maintient jeune», concède-t-il. Mais une chose est sûre, il est prêt à partir demain si Dieu le reprend à lui. Son espérance chrétienne, voilà ce qui fait la différence dans sa vie!
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