Autorisations refusées pour l’utilisation de salles municipales ou universitaires, mépris du discours chrétien dans l’arène publique, refus administratifs opposés aux associations cultuelles : les exemples de mauvaise volonté à l’égard des Eglises et des chrétiens ne manquent pas dans l’Hexagone, et font dire à certains que la France subit une nouvelle vague de christianophobie. Qu’en est-il vraiment ? La seule «intolérance tolérable» serait-elle celle qui se manifeste contre la foi chrétienne ? Ces incidents annoncent-ils une persécution à venir, voire déjà présente ? Ou alors le terme «christianophobie» est-il lancé un peu trop hâtivement dans certains cas ?