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Un pays mûr pour l’Evangile

© Alliance Presse
Timothée Paton est missionnaire auprès des petits chiffonniers de Phnom Penh, la capitale du Cambodge. Il évoque les progrès des Eglises et la nouvelle stratégie qu’il a mise au point pour sortir ces gamins de la rue
Joël Reymond

Bonjour, Timothée Paton. Comment le dit-on au Cambodge?
«Tchoum riap souah». Quand on veut être familier, «soussadaï». On joint les mains, on touche le nez, mais on ne fait pas de courbette, comme au Japon. On ne regarde pas dans les yeux. On ne se touche pas. On touche pas la tête des enfants. Il ne faut pas montrer le dessous de ses souliers, ne pointer la plante des pieds en direction de quelqu’un

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