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«Un bonbon ou un sort!», faut-il fêter les morts?

© GettyImages
Entre innocence et danger, imaginaire et réalité, la fête d’Halloween et la Toussaint – qui ouvre elle aussi une porte entre la mort et la vie –, les chrétiens ont de quoi douter. En Europe de l’ouest, ils sont peu armés pour y faire face.
Charlotte Moulin

En France et en Suisse, il y a souvent peu de demi-mesure pour les chrétiens: soit la fête d’Halloween est ludique, soit elle est dangereuse. Et par rapport à d’autres fêtes, rares sont les échos d’initiatives chrétiennes à cette date. «Concernant la Toussaint, selon notre interprétation de la Bible, nous ne sommes pas appelés à prier pour les morts», explique Stéphane Klopfenstein, directeur adjoint du Réseau évangélique suisse (RES).

Dossier: La foi chrétienne à l’épreuve des fêtes de fin d’année

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