«The Chosen», de retour pour un volet 4
Comment avez-vous intégré le casting «the Chosen»?
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J’ai auditionné dès le départ pour plusieurs rôles, Simon-Pierre, Thomas, mais j’avoue qu’il y a eu une espèce d’attraction entre le personnage de Simon le Zélote et moi. Mon passé de cascadeur a bien sûr aidé et même si je ne connaissais pas «The Chosen» avant, je me suis rendu compte que c’était un phénomène énorme.
Quelle est l’ambiance sur le tournage?
C’est très familial, amical, famical donc (rires)! Il n’y a pas de langue de bois et ça nous aide beaucoup à l’image, on n’a pas besoin de faire semblant. Le reste de l’année, on communique toujours ensemble et lors d’événements publics, on fête nos retrouvailles.
Est-ce plus fraternel que sur d’autres plateaux?
Oui, absolument! C’est du cinéma sans égo. Dallas Jenkins (le créateur de la série, ndlr) est le capitaine du navire, c’est son caractère qui influe sur tous les autres. Il a une personnalité humble et au service de ce qu’il fait. Il est très inspiré et ça déteint sur nous tous. Et l’histoire en elle-même ne permet pas autre chose que de la simplicité dans nos relations.
C’est touchant de travailler pour un message de paix?
Oui. Surtout qu’actuellement notre monde souffre partout. Je me sens privilégié et chanceux de contribuer à une telle œuvre. Il y a un grand message de paix et de tolérance, c’est un vrai esprit auquel Dallas Jenkins – et toute l’équipe – tient. D’ailleurs, nous sommes tous différents et cela contribue à l’ambiance.
Quels sont vos projets en parallèle à «The Chosen»?
Je me mets à la réalisation. J’ai des projets en cours et j’utilise aussi mon temps sur le tournage de «The Chosen» pour étudier le travail du plateau. Je note aussi qu’il y a une exigence sur le savoir-faire allant de pair avec l’humilité.
Article tiré du numéro Christianisme Aujourd’hui Mai 2024
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