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Quand les jeunes boivent jusqu’à la catastrophe

© Alliance Presse
L’été arrive avec ses fêtes de fin d’années et autres grillades estudiantines où l’alcool coule à flot. Alors que des tragédies résultant d’abus massifs d’alccol parmi les jeunes défraient la chronique, les spécialistes rappellent le rôle préventif de la famille.
Joël Reymond

Plusieurs tragédies impliquant des adolescents ivres ont récemment défrayé la chronique en Suisse, en Allemagne ou ailleurs: comas éthyliques fatals, chutes de toit, accidents, intoxication, etc. Ces faits divers sont-ils marginaux ou relèvent-ils d’une aggravation généralisée, quand on sait les efforts déployés par la prévention dans le domaine?
«L’alcoolisation extrême est un type de consommation en augmentation», reconnaît Corine Kibora, porte-parole de l’Institut suisse de prévention de l’alcoolisme et autres toxicomanies (ISPA). «C’est un phénomène récent, cinq à dix ans peut-être et qui est anglo-saxon à l’origine». Il concernerait autant les filles que les garçons, toujours selon Corine Kibora.
Il y aurait quotidiennement quatre à cinq ados dans les hôpitaux suisses selon l’ISPA, à cause de surconsommation d’alcool et de risques associés.

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