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Quand la foi déplace les montagnes et les cœurs

© Alexandre (à gauche) et Jérémie (à droite) de Pablos, co-auteurs de «Simple comme bonjour» (éd. Excelsis). / DR / Excelsis
Parler de l’Évangile, un appel à vivre au quotidien? Entretien avec Jérémie de Pablos, co-auteur avec son frère jumeau de «Simple comme bonjour» (éd. Première Partie).
Maude Burkhalter

Rencontre via Zoom avec Jérémie de Pablos, un vendredi après-midi. Il m’appelle depuis un chalet duquel il vient de récupérer les clés, pour y vivre un week-end avec le groupe de jeunes dont il est le pasteur. On se salue, on échange les nouvelles récentes de nos parcours respectifs – après l’obtention d’un bachelor en théologie à la HET-PRO, Jérémie de Pablos, polymécanicien de métier, poursuit ses études de théologie à la FLTE (Faculté libre de théologie évangélique), en parallèle d’un mandat de pasteur jeunesse à l’Eglise de Réveil de Genève. Pour ce chrétien engagé de vingt-neuf ans, comme pour son frère jumeau Alexandre actuellement en études théologiques dans les milieux anglicans, au-delà de l’intellect, la foi, c’est d’abord quelque chose qui se vit, de façon tangible.

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