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Oser s’appuyer sur la sagesse de l’âge

Un garçon afro-américain de 10 ans assis avec son arrière-grand-père de 79 ans, traînant sur un front de mer de la ville, en automne ou en hiver. Le vieillard a son bras autour de l'épaule de son arrière-petit-fils, lui donnant des conseils. Ils ont des expressions sérieuses sur leurs visages.
© iStock
Les personnes âgées ont les avantages de l’expérience: une qualité qui ne s’acquiert qu’en vieillissant... ou en se mettant à l’écoute de nos aînés? Quatre questions posées à Nancy Decorvet, auteure de «Les Richesses de l’âge» (éd. JEM).
Sandrine Roulet
Nancy Decorvet
© DRMédiatrice familiale et femme de lettres, Nancy Decorvet a entre autres exercé aux côtés de son mari pasteur en accompagnant des couples en difficulté. Elle est auteure de plusieurs ouvrages, dont Tracer la route à nos enfants (éd. LLB).

Si vous deviez mentionner trois richesses de l’âge, lesquelles serait-ce?

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D’abord, la profondeur de l’écoute, qui devient primordiale sur le faire. Les priorités deviennent celles qui enrichissent l’âme et l’esprit, le corps étant moins actif. Dans un cercle rapproché, beaucoup ont besoin d’écoute. Les enfants peuvent être dans la crise de la quarantaine, les petits-enfants avoir besoin de se confier sur des sujets qu’ils n’oseraient pas aborder avec leurs parents, etc.

Dossier: Eglise intergénérationnelle

A l’heure où l’activisme et la productivité sont prônés dans nos sociétés, nos Eglises ont-elles tendance, elles aussi, à privilégier la place de la jeunesse, en dépit de celle accordée aux aînés? Pour quelles conséquences? Une vie d’Eglise équilibrée est essentielle. Dossier.

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