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«Mon entreprise doit rester dans la famille!»

© Alliance Presse
Certains patrons, y compris chrétiens, ont à cœur que leur entreprise reste dans la famille. Bonne idée ou tradition dépassée? Quels sont les ingrédients d’une transmission réussie? Découvrez sur ce site les autres articles de notre supplément Foi, Travail et Entreprises
Jérémie Cavin

«Reprendre une entreprise familiale, c’est poursuivre une tradition de génération en génération. Cette tradition est appréciée également par les collaborateurs et clients de l’entreprise». Dominique Demaurex et son frère Etienne ont relevé le défi avec brio: reprendre l’entreprise Aligro, fondée en 1923 par leur grand-oncle et leur grand-père, puis dirigée par leur père. «Pour autant qu’on ne soit pas attiré vers un métier très différent, c’est un défi relativement intéressant à relever». Bruno Jordi, qui a cédé son imprimerie à son fils Gabriel après l’avoir dirigée durant plus de trente ans, admet que «c’est le souhait de chaque entrepreneur de voir continuer ce qu’il a créé et investi durant une vie entière».
La tradition de transmettre son entreprise à ses descendants continue donc de séduire, en particulier dans les petites PME de moins de vingt personnes, un peu moins dans les entreprises de grande taille, explique Claude Romy, directeur général de Dimension SA, société active notamment dans le conseil à la vente et à la transmission des entreprises. Objectivement, explique l’économiste, «des études montrent que les entreprises familiales assurent une meilleure stabilité dans leur environnement et leur région. Elles ont un comportement parfois plus responsable que les grandes».

Dossier: Entreprises

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