L’évangélisme a-t-il encore besoin de têtes de proue?
Pour Sébastien Fath, historien, on ne peut pas séparer le «phénomène de vedettes» dans le monde évangélique de la «domination des Etats-Unis, chef de file autoproclamé du “monde libre” et moteur de l’évangélisme mondial.» Ce sont eux qui fournissent les plus grandes vedettes planétaires. «A commencer par Billy Graham, apôtre de la flamme évangélique au cœur de la guerre froide», note-t-il. «En 1974, il est alors l’incontestable tête d’affiche de l’évangélisme, aux Etats-Unis comme dans le reste du monde.»
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