Lettre iuverte à Pauline Ayyad, veuve du responsable de la Société Biblique de Gaza, assassiné en octobre dernier
Chère Pauline,C’est un honneur pour moi de vous écrire cette lettre d’encouragement. J’ai appris la mort de votre mari peu après que ce soit arrivé. Je me souviens d’avoir eu le coeur lourd et j’ai prié pour vous, même si je ne disposais que de peu d’informations sur les circonstances de son décès. Je savais que vous et votre mari Rami aviez été appelés à participer à la communion du Seigneur par la souffrance. Le serviteur n’est pas plus grand que son maître et Rami était un fidèle serviteur.
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Les mois ont passé et je sais que Dieu vous a montré, ainsi qu’à vos trois enfants, son amour et sa compassion tout comme il l’a fait pour moi et mes trois enfants, après la mort de mon mari Martin dans la jungle philippine. Je sais qu’il vous a chuchoté ces mots de réconfort: «Que votre coeur ne se trouble point, ne soyez pas effrayés.»Je prie pour vous aujourd’hui et je crois, par la foi, que Dieu va vous utiliser de façon puissante pour toucher la vie d’autres personnes.
GRACIA BURNHAM
Article tiré du numéro Christianisme Aujourd’hui – Avril 2008
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