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L’éthique chrétienne a sa place en politique

© Istockphoto
Ancien directeur de l’école d’évangélisation et du centre de Jeunesse en Mission de Lausanne, Carlo Brugnoli est évangéliste. Il réagit au dossier du mois d’octobre sur le nationalisme chrétien. Parti pris.

Il me semble juste d’écrire en réaction aux articles d’octobre qui ont composé le dossier sur la tentation du nationalisme chrétien. Un équilibre me paraît fondamental pour notre vie de disciples et notre espérance. Jésus n’a-t-il pas dit: «Faites de toutes les nations des disciples?» On veut lui faire dire: «Faites des disciples dans toutes les nations.» Cependant son attente, son espérance ne sont-elles pas bien plus grandes? Immerger une nation par et dans la Parole de Dieu serait-ce un péché, une désobéissance, une fausse théologie? Bien entendu, installer une dictature est aux antipodes de celui qui est doux et humble de cœur et c’est la bonté qui mène à la repentance, non le fouet!

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