Les animateurs s’adaptent et sont créatifs
Les camps sont à l’arrêt mais les équipes continuent de chercher des solutions alternatives à court et moyen terme. Malgré l’incertitude, les parents témoignent de leur fidélité et du souhait d’envoyer leurs enfants profiter de camps d’été, à tel point que certaines associations affichent déjà complet. En attendant le retour à la normale, elles se dirigent vers de nouvelles options de vacances «spéciales Covid» déployées par les acteurs de terrain. «En Suisse romande, nous avons choisi de convertir nos séjours de ski en février en camps de jour auxquels les enfants pouvaient participer à la journée», explique Isaline Coudrain-Rothacher, la directrice adjointe de la Ligue pour la lecture de la Bible (LLB).
Une formule à la carte était proposée sur cinq jours, au prix de cinquante francs suisses par journée d’activités. «On réfléchit déjà à l’organisation des mois prochains afin d’éviter aux parents d’effectuer les trajets tous les jours jusqu’au lieu-même des activités.» L’équipe espère adapter l’offre à une vingtaine de camps cet été.
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