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L’Eglise arménienne face à son destin

© Alliance Presse
Vingt ans après l’indépendance de l’Arménie, l’essor des Eglises arméniennes est important, mais le climat moral et spirituel s’est tendu
Isabelle Appy

Le 21 septembre 1991, l’Arménie acquiert son indépendance avec la chute de l’Union Soviétique. Changement de décor radical. Sous l’autorité soviétique, le panorama évangélique en Arménie se restreignait à trois lieux de culte surveillés par le KGB. L’athéisme était cultivé et la foi officiellement interdite. «Survivre» en tant que confession était le but premier des chrétiens évangéliques de l’époque.
«Nous avons connu un tournant avec l’indépendance, et les enjeux qui animent l’échiquier actuel naissent», assure Gilbert Léonian, pasteur de l’Eglise évangélique arménienne de Beaumont à Marseille.

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