Le sacrifice de trop
-Il faut attaquer, Saül! Maintenant! C’est notre dernière chance!
– Attaquer, attaquer, tu n’as que ce mot à la bouche! Tu veux vraiment partir à la guerre sans la bénédiction du Seigneur sur toi?
– Oui, mais Samuel…
– Je sais bien que Samuel n’est pas là, c’est tout le problème. Cela fait maintenant six, non sept jours, que l’on attend, coincés comme des rats sur ce promontoire de Guilgal, cernés par ces chiens de Philistins.
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