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«Je n’ai pas à l’impressionner»

© DR
«Fort et Puissant», «Yahwé», «Eveille-toi mon âme»: les chants de Samuel Olivier apportent un vent de renouveau dans la louange francophone. Le conducteur de louange sortira au printemps un nouvel album avec son collectif «Les Cieux Ouverts».
Sandrine Roulet

Vous avez grandi au sein d’une famille chrétienne. A quel moment votre foi est-elle devenue personnelle?
Dès l’enfance, j’avais conscience que Dieu existait. Mon grand-père était pasteur, mon père s’occupait de la louange, mes parents nous emmenaient dans des réunions de Réveil. Vers 20 ans, j’avais beaucoup de connaissances intellectuelles, mais très peu de pratique. Un Evangile de règles, avec des «tu dois».
Le gros changement s’est passé quand j’ai rejoint la paroisse de Paris-Belleville. J’ai découvert que Dieu est un Père et que j’étais adopté par lui. Tout mon ressenti intérieur s’est aligné là-dessus. Je me mettais beaucoup d’exigences religieuses et je ne les atteignais pas. J’ai réalisé que ce n’était pas ce que je faisais qui me gagnait l’affection de Dieu, mais ce que Jésus avait fait.

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