«J’ai vu Jésus pleurer sur mon état»
«Si j’ai été changé par Dieu, il peut changer n’importe qui!» affirme Thomas. Il y a deux ans et demi, ce Suisse trentenaire fréquentait encore le milieu néo-nazi. En octobre 2014, sa femme et mère de ses deux enfants le quitte. Thomas le reconnaît aujourd’hui: il ne savait pas lui manifester son amour, aveuglé par son orgueil. Par ailleurs, le gaillard tatoué au crâne rasé faisait peur à sa belle-famille, laquelle a poussé à leur séparation. En effet, Thomas était loin d’être un enfant de chœur.
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