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Il n’y a jamais de bonne raison de faire la guerre

© European Union– Wikimedia / Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, et Volodymyr Zelensky, président de l’Ukraine, lors de la session extraordinaire du Conseil européen, le 6 mars 2025.
Les nouvelles sont les mêmes à l’Est comme à l’Ouest: la haine déploie ses ailes dans toute sa laideur, dans toute sa cruauté et sa violence. Comment renverser la vapeur? Article en partenariat avec StopPauvreté.

Nous donnons un sens au monde à travers les histoires que nous racontons. Elles façonnent la façon dont nous voyons les autres et notre environnement. Mais racontons-nous des histoires qui nous aident, qui servent le monde en général et rendent honneur à Dieu? Ou nos histoires font-elles partie du problème?

Alors que nous entendons des rumeurs sur l’arrivée d’une guerre mondiale, que les gouvernements retirent leur soutien à la coopération internationale pour investir dans l’armement (pardon, la «défense»), que le nombre de conflits armés dans le monde a récemment atteint un niveau record, quelles sont les histoires sur lesquelles nous pouvons nous appuyer et quelles sont celles que nous devons abandonner? L’histoire que nous entendons le plus sur la guerre à venir est celle que raconte Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne: «Si l’Europe veut éviter la guerre, elle doit se préparer à la guerre.» Je propose de remplacer ce récit par un autre: «La guerre est un monstre, mais la paix est possible.»

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