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Au Québec, la pop a perdu l’espoir

© SamuelFreli – Wikimedia / Eliedion – Wikimedia
Si leur prose nous a parfois transportés, l’inspiration n’était peut-être pas divine. Coup de projecteur sur ces poètes québécois récemment décédés qui voyaient dans la mort un point final.
André Pinard

Les années 2023 et 2024 ont été marquées par le départ de deux icônes de la chanson québécoise: Karl Tremblay, chanteur des Cowboys Fringants (1976-2023) et Jean-Pierre Ferland (1934-2024). J’ai personnellement beaucoup aimé Jean-Pierre Ferland, pendant mon adolescence (les années 1970). Plus tard, lorsque c’était au tour de mes fils de passer par l’adolescence, ils m’ont fait découvrir les Cowboys Fringants et leurs chansons touchantes, quelquefois amusantes et surtout engagées. Un de mes fils avait reçu le DVD de leur concert au Centre Bell, à Montréal, le 30 décembre 2003.

Je me souviens d’une soirée de spectacle du festival Outaouais en fête 2016 avec mon fils aîné. Il «pleuvait à boire debout», si la mémoire ne me fait pas défaut, mais la chaleur humaine était au rendez-vous! Je suis ensuite retourné au même festival pour les voir en 2022. Les Cowboys m’ont marqué, en l’occurrence l’authenticité de Karl Tremblay et la fougue de Marie-Annick Lépine, sa conjointe, au violon et à la mandoline…

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