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Le réveil ne se cantonne pas à un lieu

© Robin Cornetet / Kentucky Today
Professeur à l’université Asbury et théologien, Craig Keener se réjouit du «mouvement de l’Esprit» qui s’y vit, tout en restant lucide sur les risques.
Maude Burkhalter

Une fois établi qu’un mouvement spirituel d’une ampleur inhabituelle s’installait au sein de l’université méthodiste Asbury, aux Etats-Unis, les responsables locaux ont vu affluer des chrétiens des quatre coins du pays et même au-delà. Un besoin de voir et d’expérimenter à la source ce «déversement de l’Esprit» en a saisi plus d’un. Quand certains courent après les manifestations fortes et tangibles de la présence de Dieu, d’autres se déplacent par curiosité et d’autres encore, moins nombreux, par scepticisme. La question plane: peut-on réellement appeler ce phénomène un réveil? N’est-il pas plutôt un simple épanchement du Saint-Esprit tel qu’on le trouve en Actes 2 et 10?

Dossier: Réveil d’Asbury
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