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Antizone: une partie du filet social

Ce catéchisme urbain à bas seuil est le grand frère de «Quartier libre»
Sandrine Roulet

Que deviennent les jeunes après Quartier Libre, le programme d’évangélisation en quartier pour les enfants? La solution trouvée par les Fabricants de Joie d’Yverdon se nomme Antizone.
Antizone est en quelque sorte une préparation à l’adolescence. En Suisse Romande, une centaine de jeunes y prennent part, avec des arrière-plans religieux très variés. Les soirées se conjuguent de trois manières: «fun» (axées sur l’amitié et le relationnel), «tchatche» (thèmes sociaux et bibliques) et «pratiques» (apprendre à trier le linge, l’auto-défense, etc).
«Nous sommes clairs par rapport à notre message: Jésus est le Fils de Dieu. Toutefois, nous en parlons surtout lors d’occasions spéciales comme Noël ou Pâques», explique Frédéric Berner, l’un des animateurs du groupe d’Yverdon, le premier à avoir été lancé, en 1999.
–CREDIT–
À Yverdon justement, la fréquentation habituelle est de vingt-cinq personnes, sans compter les responsables. «Le noyau est constitué de jeunes qui ont suivi Quartier Libre. Après, il y a les amis qu’ils invitent», détaille Frédéric Berner. Une grande majorité des participants ne proviennent pas de familles chrétiennes. Socialement, ils représentent plutôt la classe populaire à défavorisée.

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