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L’unité relève de quatre critères

© Alliance Presse
Le théologien Henri Blocher donne une définition de l’unité. Cet article fait partie de notre Gros Plan, dont les autres textes sont à consulter sur ce site.
Christian Willi

Le CNEF affiche une belle unité, même si nous savons tous qu’elle est loin d’être acquise sur de nombreux plans. Comment décririez-vous le mieux l’unité des évangéliques aujourd’hui ?
Théologiquement, le premier élément d’unité est constitué par le lien surnaturel établi par le Saint-Esprit entre tous les croyants authentiques et régénérés. Ce lien s’étend à des chrétiens non-évangéliques.
Parallèlement, l’unité marquée par une profession commune et la possibilité d’adopter des institutions communes, tel le CNEF, relève parallèlement de quatre critères : le biblicisme, la centralité de la croix, la conversion et le militantisme.
Enoncés par le professeur David Bebbington, ils confèrent une véritable physionomie évangélique, que l’on repère aussi bien chez les pentecôtistes que chez les évangéliques classiques. Ces caractéristiques assurent une unité de style, de forme d’expression évangélique et unissent effectivement les différentes composantes du mouvement protestant.

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