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Médias, quand même bons pour le dialogue

L’intérêt des Français pour l’information n’a jamais été aussi bas. C’est ce que révèle une enquête du cabinet Kantar pour le journal La Croix publiée mi-janvier. Une étude menée en 2018 auprès des jeunes Suisses de quinze à vingt-cinq ans montrait que la confiance dans les journalistes ne dépassait pas 17%. La situation relève d’un paradoxe: dans un monde surinformé, jamais les journalistes n’ont été aussi nécessaires pour hiérarchiser les faits. Et pourtant... Une remise en question de la profession s’impose dans nos contrées comme ailleurs. En effet, cette baisse d’intérêt pour l’information, qui se constate depuis cinq ans, confirme une tendance observée notamment aux Etats-Unis.
David Métreau

L’intérêt des Français pour l’information n’a jamais été aussi bas. C’est ce que révèle une enquête du cabinet Kantar pour le journal La Croix publiée mi-janvier. Une étude menée en 2018 auprès des jeunes Suisses de quinze à vingt-cinq ans montrait que la confiance dans les journalistes ne dépassait pas 17%. La situation relève d’un paradoxe: dans un monde surinformé, jamais les journalistes n’ont été aussi nécessaires pour hiérarchiser les faits. Et pourtant… Une remise en question de la profession s’impose dans nos contrées comme ailleurs. En effet, cette baisse d’intérêt pour l’information, qui se constate depuis cinq ans, confirme une tendance observée notamment aux Etats-Unis.

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