Elle a failli perdre la voix, mais pas la foi
Le chant est sa vocation, pourtant Marylène aurait bien pu perdre sa voix. Un soir de début d’été, alors en parfaite santé, la Savoyarde est convoquée avec son mari par son endocrinologue, après une banale analyse de thyroïde. «La médecin m’a annoncé avec gravité et sans détour que j’avais un cancer». C’est pour la mère de famille un énorme coup de massue. L’endocrinologue poursuit en évoquant deux éventualités: celle d’une chimiothérapie postopératoire en chambre plombée et celle d’un risque d’abîmer voire de perdre sa voix.
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