Une présence plutôt que des mots
Face à la souffrance de notre prochain, nous éprouvons souvent un mélange de compassion et d’impuissance. Comme les amis de Job, nous ressentons parfois la nécessité de trouver des explications à l’épreuve, voire de soupçonner chez le souffrant une faute cachée. Mais n’est-ce pas simplement de présence, de disponibilité et de prières qu’ont besoin les personnes éprouvées?
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