QUIZ: Saurez-vous repérer trente livres bibliques cachés?
Esther témoigna humblement, sans lamentations et de façon osée, de sa judéité. S’étant donné trois jours pour prier, elle avait aussi chanté des psaumes et des cantiques bibliques. Aïe, ce n’était pas facile ! Si elle avait eu un banjo, elle aurait peut-être eu plus de facilité… Elle plut au roi, son juge suprême, car elle avait une grande beauté et une petite voix douce qui ne gênerait pas une misophonie potentielle. Et alors qu’elle ne se trouvait qu’à un jet de pierre de son trône, le roi lui tendit son sceptre.
Ses actes de bravoure à l’encontre des velléités lucratives de Haman valurent à son cousin Mardochée un meilleur job, même s’il avait déjà profité de la lecture nocturne des chroniques d’Assuérus.
Esther sauva ainsi des Hébreux en très grands nombres de l’apocalypse qui leur était réservée. Plutôt qu’un exode de ses concitoyens hors du royaume, l’on assista à la genèse d’une nouvelle fête appelée Pourim.
Esther avait fait confiance au Dieu de Ruth, Samuel et Daniel et confirmait ainsi la véracité du proverbe selon lequel Dieu aplanit les sentiers de ceux qui le reconnaissent dans toutes leurs voies, car comme le rappelle Jacques, «la foi sans les œuvres est morte». Et même si nous portons des jeans aujourd’hui, notre Dieu est le même, toujours aussi fidèle qu’à l’époque d’Esther lorsqu’on marche dans ses voies.
Article tiré du numéro Christianisme Aujourd’hui avril 2019
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